Le 11 mai prochain, Pap Ndiaye annoncera des mesures pour renforcer la mixité sociale et scolaire. Celles-ci sont très attendues et prêtes depuis longtemps. Dans une interview au Figaro, le ministre de l’Éducation nationale dit même être « dans les starting-blocks » (cale-pieds en bon français). Au fond, deux idées l’animent, la première : c’est celui qui paie qui commande. La seconde : cela ne sera pas des paroles en l’air. Pap Ndiaye rappelle que « l’État finance les trois quarts du budget de ces établissements » (privés, Ndlr) et que « dans le protocole élaboré avec l’enseignement catholique, il y aura bien des objectifs chiffrés progressifs ». L’ombre des quotas plane.
Lire la suite sur aletia.org