Pour la CEDH, il n’existe aucun droit à la PMA « post-mortem »

L’importance donnée par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à l’absence de « consensus européen » est dangereuse [3]. Même si, un jour, la majorité des Etats venaient à légaliser la PMA « post-mortem », la raison fondamentale de ne pas proclamer un tel droit sera toujours la même. Concevoir ainsi un enfant viole le droit de cet enfant de connaître ses parents et d’être élevé par eux. Ce droit est reconnu à l’article 7 §1 dans la Convention internationale des droits de l’enfant (1989). Ce droit est fondamental, qu’il y ait ou non un « consensus européen » sur le sujet.

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Catégorie : Bioéthique | PMA/GPA
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