« Disposer du corps d’une femme durant douze mois en moyenne (le temps de la FIV plus le temps de la grossesse et du rétablissement) comme d’une machine à procréer n‘est rien de moins qu’une aliénation d’autrui, qu’une prostitution, que de l’esclavage ». Pour lui, « inutile de se voiler la face : la majorité des femmes porteuses sont dans des situations précaires, voire misérables. »
La GPA, « c’est un abandon organisé, programmé, monnayé. Pire, dans la mesure où la médecine intervient, c’est un abandon sur ordonnance ». Lire la suite sur Alliance Vita