En introduisant Ursula von der Leyen, à l’occasion de son “discours spécial” à l’assemblée de Davos, Klaus Schwab l’a qualifiée de “la femme la plus influente du monde”. Surnommée Censursula par ses compatriotes, la femme à la tête de l’Europe, pour qui la lutte contre la désinformation est une priorité absolue, a tenté de convaincre le monde du bien-fondé de la censure tous azimuts. (…) N’est-il pas ironique de voir précisément Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, s’adresser au monde dans un effort de “restaurer la confiance du public”, alors qu’elle est probablement la femme la plus critiquée d’Europe pour son manque de transparence et de concertation (le fameux SMSgate) et qu’elle fait l’objet de plusieurs plaintes à ce sujet ?
Lire la suite sur Covid Hub
NDLR. Avec cette dialectique, on assiste à un inversement complet des valeurs et du sens des mots. La désinformation pour Ursula von der Leyen, c’est quand on ne dit pas la même chose qu’elle, et dans ce cas-là, elle censure. C.Q.F.D. ! À ce sujet, on lira avec profit « Lénine, père de la terreur de masse ».