Le dimanche 29 octobre, le président de la République a annoncé sur X (ex-Twitter) l’examen d’un projet de loi constitutionnelle pour rendre irréversible la liberté des femmes d’avoir recours à l’avortement. Le projet de loi devrait être présenté en Conseil des ministres « d’ici la fin de l’année », avant d’être soumis au Parlement au printemps. Il consistera à ajouter cette clause à l’article 34 de la Constitution : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme, qui lui est garantie, d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. » « La ficelle est grosse comme un tronc d’arbre », a commenté le lendemain, 30 octobre, Vincent Trémolet de Villers dans son éditorial politique d’Europe 1. Jugeant ce projet de loi « ni utile, ni nécessaire », l’éditorialiste y voit « une opération politicienne », une pure « diversion sociétale ». Et d’expliquer : « La diversion sociétale, c’était la martingale…
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