D’un point de vue international, « l’aide active à mourir » est considérée comme une violation de droits de l’homme. Le principal traité des Nations Unies protégeant les droits de l’homme (1966) précise que « le droit à la vie est inhérent à la personne humaine ». Cette inhérence implique que le droit à la vie doit être défendu quelle que soit la volonté de son titulaire. De même, la Convention européenne des droits de l’homme (1950) pose une interdiction claire : « la mort ne peut être infligée à quiconque intentionnellement ».
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