243 623 avortements ont été réalisés en France en 2023 soit 8600 de plus qu’en 2022, selon le rapport de la Drees. La hausse continue des avortements année après année est-elle devenue une fatalité en France ? N’est-il pas urgent de regarder la réalité derrière les chiffres en examinant le contexte et les raisons pour lesquelles les femmes avortent ? En 2020, une première analyse sociodémographique de la Drees a montré que les taux de recours à l’IVG étaient plus importants parmi les femmes aux niveaux de vie les plus faibles. Quatre ans après, alors que la France a connu une crise inflationniste et une dégradation du pouvoir d’achat, aucune étude n’est venue enrichir ces données. On ne peut pourtant se satisfaire que des femmes soient contraintes d’avorter en raison de difficultés économiques voire de pressions sociales et familiales, notamment masculines.
Lire la suite sur Alliance Vita
Sur le même thème « France : 243 623 avortements en 2023, un chiffre encore en hausse » sur Génèthique
NDLR. Nos voisins suisses ne sont pas épargnés par cette tragédie, comme d’ailleurs aucun des pays européens qui y apportent leur offrande, volontaire ou non, ne voulant pas entendre les cris qui montent de la terre J’ai avorté et je le regrette.